Le Message Retrouvé de Louis Cattiaux, Edition originale 2025
Préface de Lanza del Vasto - Introduction d'Emmanuel et Charles d'Hooghvorst - Ouverture de l'éditeur
Edition originale 2025 - REVUE et CORRIGEE en 2024 du MESSAGE RETROUVE. Cette version exceptionnelle a été mise à jour d'après les notes ultimes de l'auteur et dans le respect total de l'esprit du Message. Avec préface de lanza del Vasto et la présentation d'Emmanuel et Charles d'Hooghvorst.
Un Livre à lire absolument !
Introdution : Louis Cattiaux, peintre d’étoiles, peintre de mots.
« Poète – Peintre – Mire », voici les termes qui apparaissaient en dessous du patronyme de Louis Cattiaux lorsque cet artiste quelque peu mutin vous tendait malicieusement sa carte de visite… Il n’y était pas noté toutefois son autre occupation bien plus voilée, celle… d’alchimiste, mais de celle-ci, nous en reparlerons plus en aval. Mais tous ces épithètes inscrits ne nous révèlent qu’assez platement la véritable dimension de cet homme hors du commun qui explorait si talentueusement diverses disciplines artistiques.
C’est en ce début du XXème siècle que naît à Valenciennes Louis Cattiaux, le 17 août 1904. Son œuvre terrestre semblant aboutie, c’est entouré d’Henriette, son épouse, et de son ami Charles d’Hooghvorst qu’il quitte subitement son écorce charnelle le 16 juillet de l’année 1953 à Paris. Une existence certes brève, mais il nous léguera, nous allons le découvrir ci-après, une œuvre des plus singulières, voire des plus prodigieuses à ce jour.
Louis Cattiaux vécut pendant cette bienheureuse période de l’entre deux-guerres au cours de laquelle des artistes, poètes et peintres de talent regroupés sous l’égide d’André breton, prennent le vocable de Surréalistes et cherchent à exprimer librement, et avec plus ou moins de bonheur, leur inconscient dans leurs œuvres tout en se passionnant pour les sciences occultes ou hermétiques : divination, spiritisme, dessin automatique, astrologie et alchimie. Mais Louis Cattiaux, face à cette mosaïque d’artistes trop hétéroclite et malgré qu’il s’enquière pareillement à propos de ces divers thèmes très en vogue en ces temps-là, ne peut se résoudre à les accompagner plus longuement sur ce chemin trop volatil et trop peu spirituel à son goût.
Alors, il expose seul ou parfois avec quelques amis fidèles avec lesquels il vient de créer un nouveau mouvement artistique indépendant : le Transhylisme. Les critiques d’Art, visitant sa galerie, se trouvent décontenancés devant des tableaux aux sujets inhabituels comme plantés entre réel et irréel, ou plutôt entre Terre et Ciel. Ses œuvres foisonnent de songes ou de scènes de théâtre peuplés de personnages, de fleurs et d’animaux fantastiques encadrés de surprenants symboles oubliés qui sont généralement les motifs centraux de l’œuvre et dont le but est d’attirer le regard afin de questionner le curieux. Car Louis Cattiaux ne peint pas pour être « à la mode[1] » ou faire plaisir aux critiques d’Art et aux marchands, mais bien pour révéler !
Cet artiste va bien plus en profondeur que ses pairs. Il ne s’agit nullement, en ce qui le concerne, de s’attarder dans la crasse périphérique, il désire ardemment atteindre l’essence des choses. Cherchant des réponses à ses interrogations, il arpente les bibliothèques de Paris ; de sa belle plume et de ses encres de différentes couleurs[2], il retranscrit avec grande application en quelques phrases, dans de petits carnets, le savoir des Maîtres médiévaux et des alchimistes disparus.
Il introduit ainsi dans ses tableaux, par touches successives, le fruit de ses recherches, de ses méditations. Si l’on s’attarde suffisamment devant ses œuvres et qu’on se laisse happer par leur magie, on peut percevoir que chacun des détails a été mûrement réfléchi. Tout cela pourrait à la première analyse sembler disparate et pourtant ses tableaux s’inscrivent globalement autour d’une thématique cohérente, parfois perceptible, parfois suggérée où le soleil et la lune, père et mère de toutes choses, sont omniprésents. Scènes d’Annonciation, Vierges Éternelles[3], Christs ressuscités, symboles alchimiques, l’œuvre paraît éparpillée mais se lit dans sa totalité. L’artiste est mystique certes, on le lui reproche parfois, mais il exprime pleinement sa foi tout en fuyant sans détour dogmatisme et bigoterie, il recherche le message originel, dépouillé du superfétatoire.
Mais voilà, Louis Cattiaux n’est pas seulement un artiste inspiré, il alterne peinture et écriture, deux arts qui pourraient passer pour distincts a priori mais qui, chez lui, témoignent en définitive d’un seul et même cheminement. Ses expositions assurément n’ont pas eu le succès qu’il escomptait, il subodore que sa peinture, qu’il chérit tant, ne parviendra jamais au travers de ses œuvres à faire transparaître le sens ultime de son message, ou plutôt du Message qui lui est « insufflé ». Il doit inlassablement, à chaque visiteur, mettre en lumière le sens caché de chacun de ses tableaux, cela semble l’excéder ! Tout compte fait, il réalise qu’un tableau est unique, destiné à un seul acquéreur et conséquemment à très peu d’observateurs finaux qui n’en assimileront pas nécessairement le sens premier. Le Message énoncé ne doit surtout pas devenir un Message Perdu, tout comme la Parole que d’autres initiés auraient semble-t-il eux-mêmes perdue. Et puis somme toute, les tableaux n’ont-ils pas qu’une durée de vie bien limitée ?
Alors, il lui faut expérimenter autrement son expression artistique, la picturale s’avérant trop restrictive ! Il souhaiterait aussi approcher un plus large public autre que celui des marchands d’art, des exégètes, découvrir des auditeurs qui vont l’entendre, qui vont le comprendre. Alors, il édite tout d’abord quelques poèmes, mais… la poésie hermétique ne semble guère le meilleur support, et puis tout le monde en fait plus ou moins avantageusement. Ainsi décidé ! Il n’abandonnera pas son premier moyen d’expression : la peinture, mais il réduira sa production en se polarisant sur une thématique privilégiée. Il va désormais consacrer la majeure partie de son temps, voire même au terme de sa vie la quasi-totalité de celui-ci, à composer, parfois compulsivement, quand l’inspiration, les messages lui viennent d’en Haut, des versets, des centaines, des milliers de versets. Ces courts textes font penser à des aphorismes, des tournures littéraires qu’il a pu étudier dans les manuscrits des anciens alchimistes comme Urbiger ou peut-être même dans ceux des illuministes du XVIIIème siècle tels les écrits de Louis-Claude de Saint-Martin. Il les posent soigneusement sur les pages de ses carnets, sur des bouts de papier, des enveloppes même,… tout ce qui lui tombe sous la main. Il y trouve tellement d’avantages à la peinture, il peut jongler minutieusement avec les mots ; dans l’instant, exprimer clairement une intuition, restituer fidèlement le souffle divin qui l’anime ; mais il va falloir organiser tout cela méthodiquement en livres ou chapitres, en colonnes complémentaires, les placer en miroir. Un travail considérable, chirurgical même !… Ainsi, il cisèle ses versets, les peaufine mot après mot. Jour après jour, il les associe et les numérote tout comme s’il posait méticuleusement ses couleurs par petites touches successives sur une toile vierge posée sur le chevalet. Les mots sont comme de multiples teintes, ils sont tout comme elles innombrables ; ils jouent avec eux, les entremêle jusqu’à obtenir l’expression parfaite de l’idée à transmettre. On devine que l’homme suit sciemment un même plan ; n’avait-il pas déjà pratiqué de la sorte en recopiant avec ses encres colorées quelques manuscrits rares de la bibliothèque de Paris ? Il s’aventure à publier, à compte d’auteur, quelques versets répartis en douze livres en 1946, sous le titre évocateur Le Message Retrouvé[4]. Son manuscrit paraît, aux yeux des premiers lecteurs, encore plus inclassifiable que ne pouvait l’être sa peinture ; mais au moins, il est certain qu’avec ce support papier, le Message sera davantage intelligible, au moins par quelques-uns, qu’il pourra être disséminé comme graines au vent, à travers le monde. Un livre peut être démultiplié, édité et réédité ; les mots, les livres peuvent se propager, ils n’appartiennent plus à l’auteur mais à tous ceux qui cherchent, à tous les croyants. Le Message Retrouvé sera ainsi accessible à moindre coût, à toutes les générations et non plus à quelques trop rares et heureux connaisseurs. Il est conscient que son œuvre ne sera jamais reconnue de son vivant, car trop actuelle ; mais peu importe, les générations futures sauront, elles, l’accueillir comme elle le mérite, il n’a aucun doute là-dessus. Il estime qu’il se trouvera dans la multitude, des personnes capables de croire l’Incroyable. Le Livre sera également présent dans les bibliothèques, dans ces lieux qu’il affectionnait tant, plus jeune. Chacun pourra se l’approprier, y puiser un savoir, un espoir, un salut, « le médicament céleste qui sauve de la mort[5] » ! Il tient là enfin la clef qui lui permettra de retransmettre par son Livre le Message universel, dans la lignée de celui d’Hermès et de sa célèbre Table d’Émeraude. Il semble nous tendre généreusement l’extrémité d’un fil d’Ariane nous permettant de nous rapprocher de la Tradition primordiale. Le Livre, de cette manière, offrira la possibilité à l’homme exilé de retrouver la Parole adamique.
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Mais y a-t-il enfin une clef permettant à tout un chacun d’ouvrir les mots, les œuvres de ce mystérieux poète-peintre ?
Louis Cattiaux précise à qui veut l’entendre que ce nouveau Livre ne se lira pas comme un livre ordinaire, du début à la fin comme tous les autres, mais qu’il répondra aux questions de celui qui saura y glisser un stylet pointé sur la tranche au hasard des pages. Cet ouvrage, qui compte désormais quarante livres s’est comme métamorphosé, au fil du temps telle une chrysalide, en un diamant transparent et précieux aux cinq-mille facettes dévoilant en son cœur une incomparable et unique amande alors que les voies d’accès auront été plurielles. On saisit ainsi dans cette méthode de lecture magique ce que nous propose subrepticement l’artiste ; il nous dévoile l’analogie qui existe entre le décryptage de ses versets et celui de ses tableaux tout aussi magiques ; car, pour lui, tirer un verset dans le Livre, c’est tout comme inviter un hôte au cheminement méditatif dans sa galerie d’Art, l’accompagner d’un tableau à un autre, lui faire découvrir un élément puis un autre ; enfin partager avec lui, si le visiteur s’en donne la peine, la réalité sous-jacente qu’il a bien voulu transmettre. Ainsi l’observateur, le lecteur, n’est plus, à ce stade, simple spectateur, mais a la possibilité de traverser l’épaisseur de la toile, de la page afin de se fondre dans l’âme de l’artiste, ou plutôt dans l’Âme de Celui qui anime. Plus tard, les lecteurs en nombre n’auront plus besoin d’être assistés comme tel autre, solitaire, devant une peinture, rassurés par une cote aléatoire ; ils se retrouveront, aujourd’hui ou demain, seuls face au Livre. Ils comprendront ce qu’ils pourront en saisir et obtiendront les réponses à leurs questions selon leur avancée sur le chemin de l’élévation, de la Connaissance. Car, comme il est dit si clairement dans le Message Retrouvé, le langage de son art « parle à l’intuition, à l’amour et à la mémoire profonde et non pas à l’intelligence, à la volonté et à la raison superficielle des hommes »[6].
Certains iront jusqu’à signifier que ce Message Retrouvé est le dernier livre connu du Corpus Hermeticum[7], cet ensemble de manuscrits enseignant les sciences sacrées telle que l’Alchimie, cette Science de Dieu comme la qualifie si justement Louis Cattiaux ! Il est indéniable que ce Message Retrouvé fait désormais partie des Livres Sacrés !
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L’étude des textes alchimiques à la fin du XIXème siècle et au début du XXème était une occupation prisée des salons, beaucoup s’interrogeaient sur le sens du monde. Les sciences nouvelles proposaient des réponses étriquées et même fermaient péremptoirement la discussion à certains débats ésotériques, à la spiritualité. En revanche, des cercles d’initiés se constituaient, les conférences étaient courues, et la publication d’ouvrages traitant de ces sujets était prolifique. Il est plus difficile de nos jours d’évoquer dans les conversations privées le terme d’alchimie sur laquelle l’opprobre est maintenant tombé, l’alchimiste passant pour « un doux rêveur », alors qu’il suffirait de mettre ses pas dans les siens pour reconnaître l’harmonie du monde et de là rencontrer son créateur.
À lire le Message Retrouvé ou à explorer les tableaux de Cattiaux, tout nous suggère que l’auteur maîtrise le Grand Art qu’est l’Alchimie. Malgré qu’il n’inscrive dans son Livre que peu de termes s’y afférant, la science divine y est pourtant constamment présente, cela exsude de chaque verset, et c’est encore plus visible dans les lettres destinées à ses amis[8]. Louis Cattiaux labore comme les Maîtres anciens, il s’occupe à décrasser la matière afin de voir poindre la Lumière qu’il y sait depuis l’origine cachée. S’il travaille secrètement la materia prima pour en faire sa prima materia[9], il ne projette pas, comme tant d’autres, de transmuter le plomb en or vulgaire. Il aspire simplement à atteindre l’Or Philosophique, soit réaliser la transmutation de son âme en rectifiant conjointement sa matière. S’il tente de s’approcher de Dieu, c’est en mariant le Soleil à la Lune à l’aide de ses ballons et de ses flacons, en réunissant ce qui est en Haut avec ce qui est en Bas. L’alchimie n’est pas pour lui une finalité mais une voie de réunification qu’il faut sillonner et qui, si Dieu le veut, permettra à l’opiniâtre laboureur d’entrevoir au bout du chemin, à la faveur du Donum Dei, la « Pierre philosophale » tant convoitée et dans laquelle est préservé le secret de l’origine et de la destinée de l’homme.
Louis Cattiaux est, à notre avantage, un homme du milieu du XXème siècle, son Message Retrouvé est donc pour nous, d’autant plus commode à assimiler que les textes trop souvent abscons des siècles passés, textes dont les auteurs, témoins de la chose, affectent régulièrement de dévoiler quelque secret mais sans jamais ne rien réellement éventer, car le danger serait grand s’il échouait entre quelques mains malveillantes. Pour sa part, Louis Cattiaux ne divulgue jamais, dans ses écrits, de recettes opératives, comme certains l'attendent, et qui les conforteraient dans la pratique seule du laboratoire. C’est aussi pourquoi il désirera, à un moment donné, défaire son Livre, car déjà bien trop clair à ses yeux. Ne dit-il pas aussi à ses proches que certains enseignements ne se font uniquement que de bouche à oreille comme le pratiquait Pythagore vis-à-vis de ses disciples.
Mais pourtant, et il le martèle lui-même : « Tous (ou presque tous) les versets du Message Retrouvé ont une signification alchimique », c'est du plus évident à ceux qui ont pénétré quelques ouvrages à ce sujet, et d’autant plus à ceux qui ont travaillé au laboratoire... On n’a jamais lu un ouvrage évoquant autant le Grand Art que celui-ci sans que cela ne transpire ostensiblement à la première lecture ! Mais l’alchimie n’est-elle pas telle une clef universelle reliant toutes les disciplines, résolvant nombre d’interrogations que l’homme sincère, en quête de savoir, se pose.
Toujours avec cette volonté de dépouillement, Louis Cattiaux réussit dans ses écrits à exposer avec des mots « ordinaires » un concept en vérité des plus accessibles, celui de notre réunification avec LVI[10] ! Pourtant, ici, volontairement, il n’y a rien de cérébral ; par ces mots usuels, il cible directement l’Âme et non l’esprit ! Alors, c’est à nous à présent d'aborder sans intellectualisme chaque verset. De même que soulevant délicatement, l’un après l’autre, chacun des sept voiles d’Isis afin de parvenir à la Connaissance, il nous faudra effeuiller, chacun des sens de ces aphorismes, l’un après l’autre jusqu'au dernier... l'Alchimique, le plus élevé, assure l’auteur lui-même. Ces versets s'articulant tous dans un ordre voulu se révèlent être un véritable enseignement initiatique, ils démontrent la Connaissance prodigieuse que Louis Cattiaux y dissimule sous forme d’anagrammes et de termes codés, nous incitant à nous enquérir de leur signification voilée.
À dessein, l’auteur, illustre avec ces près de cinq mille versets répartis en quarante livres du Message Retrouvé la façon dont il nous est possible dès aujourd’hui de réaliser l’indispensable et totale Rénovation de la création et a fortiori de nous-mêmes. Voilà tout l’objet de cet ouvrage et il faut, pour ce faire, comme le précise l’auteur si clairement, séparer l’amande de la crasse[11] là où d’autres ont dit avant lui qu’il fallait « distinguer ce qui est pur de ce qui est impur ».
Comme Louis Cattiaux l’aurait souhaité et ainsi qu’il l’avait si souvent sollicité auprès de ses fidèles amis, les frères d’Hooghvorst, Emmanuel et Charles, il est désormais de notre devoir d’initier les nouvelles générations à ce Livre. C’est ainsi qu’après avoir publié en début de cette année la version française revue et corrigée de son Message Retrouvé, ouvrage devenu quasiment introuvable alors même que notre maison d’édition venait de publier CATTIAUX, UN ART MAGIQUE, nous avons édité, afin de ne pas rester « boiteux » comme nous l’aurait soufflé l’auteur, la version anglaise puis continuons notre chemin avec cette version italienne traduite du français par des philologues familiers de l’œuvre de l’auteur.
Nous espérons, comme l’aurait voulu l’Artiste Poète-Peintre et Mire, Louis Cattiaux, toucher par cet ouvrage la multitude et tout spécialement ceux qui ne l’ont pas encore rencontré, les jeunes en particulier. Remarquons que l’auteur ne manifeste quasiment jamais, dans le Livre, sa personne par des Je mais affectionne de multiples Nous afin que celui-ci devienne dès à présent Notre Livre, notre incontournable compagnon de route. Nous nous plaisons à imaginer que ce Message Retrouvé n’est plus seulement le dernier livre du Corpus Hermeticum, mais bien le dernier Livre prophétique désormais à la portée de tous ceux qui seront en mesure de Croire l’Incroyable.
©Jean-Marie Groult
Éditions Philomène Alchimie
Le 13 septembre 2024
[1] Voir Le Message Retrouvé 40, 18.[2] On retrouve bien là l’esprit du peintre.[3] Louis Cattiaux : « Je peins des Vierges Éternelles dont nul ne connaît le vrai nom sinon celui qui les épouse ».[4] Un ouvrage qui sera post-mortem complété de ses nombreux versets inédits et traduit en de nombreuses langues.[5] Voir le Message Retrouvé 37, 38’.[6] Le Message Retrouvé 19, 03’.[7] Jean-Marie d’Ansembourg Glose téméraire des prières au père et à la mère, ouvrage ouvrant le Message Retrouvé par Louis Cattiaux, éd. Miroir d’Isis, 2020.[8] Lire à ce propos les publications du Miroir d’Isis.[9] « Refais la boue, Et cuis-la. » Le Message Retrouvé 15, 68 et 68’.[10] « LUI : le feu secret qui suscite les univers, qui les entretient, et qui les consume. » Le Message Retrouvé, éd. Dervy, 2015, p. 3.[11] Le Message Retrouvé 16, 62.